Les plus hardis des fans de Pokémon savent qu'il y a une autre façon de capturer des pokémon à part les pokéballs. Pas vraiment capturer mais plutôt contrôler, à l'aide des sticks. D'où la question si l'on peut dans l'avenir créer un jeu qui prenne le gameplay de Pokémon Ranger pour jouer.
Tourner son téléphone pour capturer des pokémon, pourquoi pas? Ce sera une autre façon que l'éternel capture au pokéball. Sauf que le fait d'être Pokémon ranger implique plus de choses, mais ça ne fait rien, capturer des pokémon pour quelqu'un d'autre, battre un pokémon quelconque ou une IA quelconque, le gameplay de Pokémon Ranger peut bien s'adapter à celui de Pokémon go et son monde virtuel, alors pourquoi pas?
Voulez-vous être Pokémon ranger? Préparez-vous car peut-être un jour ou l'autre ce système de jeu sera adapté pour l'AR, vous pourrez alors parcourir le monde pour effectuer des quêtes, sauver des pokémon, en capturer avec des sticks, ou même sauver le monde.
Bref, il y a encore beaucoup de possibilités à exploiter sur l'univers Pokémon et le système Ranger en fait surement partie.
Et vous? Voulez-vous aussi devenir Pokémon Ranger dans le monde augmenté?
Introuvable sur Google
Blog d'analyse et d'opinion répondant à des questions aux réponses insuffisantes sur Google. Traite de question politique, économique, social ou culturel. Les critiques, avis, demandes sont les bienvenus.
lundi 3 octobre 2016
mercredi 21 septembre 2016
Si Google était un empire terrestre?
Parmi les entreprises du monde, certaines sont considérées comme des empires lorsqu'ils atteignent une taille immense et ont des résultats financiers vertigineux, mais aussi lorsque leur expansion est toujours croissante par création de filiales, fusions et rachats.Et leurs actions font qu'ils ressemblent en beaucoup de points aux empires coloniaux du passé.
C'est le cas de GOOGLE, qui a atteint une taille assez grande pour se renommer ALPHABET(de A à Z, il y a toujours quelque chose qui est en relation avec Google voir ici). Voici les similarités de cette entreprise avec un empire colonial où les sociétés serait des pays.
Nom de l'empire: Alphabet
Empereur: Larry Page
Premier ministre: Sergui Brin
Chef du parlement: Eric Schmidt
Parlement: Le conseil d'administration
Métropole: GOOGLE
Principales villes (services créés en interne):
Colonies de peuplement (société créés en interne):
Les compagnies de commerce (comme les compagnies des Indes, les fonds d'investissement servent à dominer une société)
Les Protectorats (les sociétés où Alphabet a des parts)
Il y en a des centaines mais nous quelques uns par compagnie de commerce:
Pour GV:
Nom de l'empire: Alphabet
Empereur: Larry Page
Premier ministre: Sergui Brin
Chef du parlement: Eric Schmidt
Parlement: Le conseil d'administration
Métropole: GOOGLE
Principales villes (services créés en interne):
- Google search
- Gmail
- Google Chrome
- Youtube
- Android
Colonies de peuplement (société créés en interne):
- Calico
- Verily
- X
- Google Fiber
- Nest
- Sidewalk Labs (urbanisation)
- Makani Power (energie)
- Boston Dynamics(robots)
- DeepMind Technologies(IA)
Les compagnies de commerce (comme les compagnies des Indes, les fonds d'investissement servent à dominer une société)
- GV
- Google Capital
Les Protectorats (les sociétés où Alphabet a des parts)
Il y en a des centaines mais nous quelques uns par compagnie de commerce:
Pour GV:
- Uber (tout le monde connait)
- Kabam (jeux)
- Orbital Insight (espace)
- Urban engines (big data, annexé il y a peu de temps)
- Care.com (pour chercher des babysitters)
- Survey Monkey (sondage)
- Lending club (prêt)
- Kredit Karma (crédit score)
vendredi 2 septembre 2016
Les vestiges de l'identité malagasy
Dans le contexte de mondialisation et d'uniformisation, les traits spécifiques à chaque pays commencent à disparaitre surtout en Afrique. On parle souvent d'acculturation, de perte d'identité, de rejet des valeurs. C'est le cas de Madagascar où la culture malagasy est en train de disparaitre pour laisser place aux pensées, et coutumes des autres, qui est surtout due au progrès des technologies de communication comme la télévision et internet. Cependant il reste des traits spécifiques à encore plus de 95% des malagasy habitant à Madagascar.
Par ailleurs, les noms malagasy ont toute une signification (sauf cas exceptionnel), si vous n'êtes pas malagasy et que vous en rencontrez un, demandez-lui la signification de son nom.
Pour les Hautes Terres Centrales, par exemple, on a le tombeau familial, une même famille est toujours enterrée dans un même tombeau, parfois avec des ancêtres de plus d'un siècle. En plus les tombeaux malagasy ont un certain trait, qui est le fait qu'il soit un bâtiment de pierre assez grand et haut, avec parfois une porte, surmonté soit d'une croix pour les chrétiens. A part cela, les malagasy sont toujours enveloppés dans des linceuls (de soie sauf si ils n'en ont pas les moyens), utilisent rarement des cercueils et ont pour coutume d'offrir de l'argent lors des condoléances et surtout de faire des longs discours (kabary) lors des enterrements.
Il y aussi des traits visibles dans les milieux ruraux notamment en ce qui concerne l'architecture et les coutumes vestimentaires, mais ceux-ci sont déjà en péril.
Il y a chez beaucoup de malagasy le rejet de culture, peu de malagasy porteraient un malabary( une tunique malagasy) alors que les japonais sont par fier de leur kimono, et certains africains, de leur boubou. Mais l'usage de paréo(national) est fréquente chez les femmes malagasy surtout les cotières.
En ce qui concerne l'architecture, il y a dans le milieu rural quelques types de maisons propres aux malagasy: la maison en terre battue avec toit de chaume, la maison en briques non peintes, avec piliers et veranda. Et dans les côtes subsistent de nombreuses cases en ravenala ou bambou.
Quant aux valeurs et arts, c'est ce qui est surtout touché par l'acculturation et le rejet comme c'est le cas de la danse traditionnelle et les chansons traditionnelles.
*Hautes Terres Centrales: l'intérieur de l'île dont fait partie Antananarivo, la capitale
- L'utilisation de la langue malagasy
- Les noms
Par ailleurs, les noms malagasy ont toute une signification (sauf cas exceptionnel), si vous n'êtes pas malagasy et que vous en rencontrez un, demandez-lui la signification de son nom.
- L'alimentation en riz
- La circoncision
- Les coutumes funéraires
Pour les Hautes Terres Centrales, par exemple, on a le tombeau familial, une même famille est toujours enterrée dans un même tombeau, parfois avec des ancêtres de plus d'un siècle. En plus les tombeaux malagasy ont un certain trait, qui est le fait qu'il soit un bâtiment de pierre assez grand et haut, avec parfois une porte, surmonté soit d'une croix pour les chrétiens. A part cela, les malagasy sont toujours enveloppés dans des linceuls (de soie sauf si ils n'en ont pas les moyens), utilisent rarement des cercueils et ont pour coutume d'offrir de l'argent lors des condoléances et surtout de faire des longs discours (kabary) lors des enterrements.
Un Tombeau familial malagasy
- Le mariage
- Autres aspects en péril
Il y aussi des traits visibles dans les milieux ruraux notamment en ce qui concerne l'architecture et les coutumes vestimentaires, mais ceux-ci sont déjà en péril.
Il y a chez beaucoup de malagasy le rejet de culture, peu de malagasy porteraient un malabary( une tunique malagasy) alors que les japonais sont par fier de leur kimono, et certains africains, de leur boubou. Mais l'usage de paréo(national) est fréquente chez les femmes malagasy surtout les cotières.
En ce qui concerne l'architecture, il y a dans le milieu rural quelques types de maisons propres aux malagasy: la maison en terre battue avec toit de chaume, la maison en briques non peintes, avec piliers et veranda. Et dans les côtes subsistent de nombreuses cases en ravenala ou bambou.
Quant aux valeurs et arts, c'est ce qui est surtout touché par l'acculturation et le rejet comme c'est le cas de la danse traditionnelle et les chansons traditionnelles.
Une maison typiquement malagasy, en briques, avec veranda et piliers
*Hautes Terres Centrales: l'intérieur de l'île dont fait partie Antananarivo, la capitale
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